Le poids corporel d’un athlète a très peu à voir avec les besoins en glucides.
Asker Jeukendrup explique que la quantité de glucides requise pendant l’exercice dépend du niveau d’intensité, du type et de la durée de l’activité physique.
Les sources de glucides peuvent être séparées en deux catégories. Certains glucides, comme le glucose et le saccharose, sont utilisés rapidement, alors que d’autres, comme le fructose, sont moins rapidement utilisés.
Luc Van Loon explique que les sources de protéines riches en acides leucines digérées et absorbées rapidement, comme les protéines de lactosérum, sont les plus anaboliques après l’exercice.
Luc Van Loon discute de la quantité de glucides requise après un entraînement, et des sources de glucides que les athlètes doivent privilégier pour leur consommation.
Les personnes qui manquent de sommeil peuvent devoir consommer davantage de nourriture.
Environ 30 à 40 % des athlètes éprouvent des troubles gastro-intestinaux durant l’exercice.
Les experts recommandent d’éviter la consommation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens avant un marathon en raison des risques accrus de troubles gastro-intestinaux.
Pour éviter les troubles gastro-intestinaux, les athlètes doivent s’hydrater et éviter de consommer des aliments riches en fibres, en protéines, en gras et en lactose.
Les aliments riches en fibres, en protéines, en gras et en lactose ralentissent le processus d’évacuation gastrique et doivent être évités avant et pendant l’exercice.
Le mouvement des organes ainsi qu’une diminution du flux sanguin peuvent entraîner des troubles gastro-intestinaux durant l’exercice.
Certains facteurs peuvent accroître les risques pour un athlète de subir des troubles gastro-intestinaux.
Lors d’un exercice de moins d’une heure, il est possible d’éviter les troubles gastro-intestinaux en se gargarisant plutôt qu’en consommant des glucides.
Les crampes de chaleur sont le résultat d’une perte excessive liée à la transpiration et d’un déficit en sodium engendré par cette perte.
Avant l’exercice dans des conditions de chaleur élevée, les athlètes peuvent obtenir un avantage sur le plan des mécanismes thermorégulateurs et de la performance en « prérefroidissant » leur corps plutôt qu’en effectuant un échauffement régulier.
Les athlètes peuvent s’acclimater aux environnements chauds et humides. Toutefois, lors d’efforts intenses, l’évaporation de la transpiration sera difficile et donc l’athlète ressentira les effets liés à son environnement.
Les tests de sudation peuvent aider à déterminer les besoins particuliers d’une personne en matière de liquides et d’électrolytes, ainsi qu’à améliorer les stratégies d’hydratation.
Pour une performance optimale, les athlètes doivent s’acclimater à la chaleur, s’assurer de maintenir une hydratation adéquate et abaisser leur température corporelle lors des pauses.
Le stress thermique désigne l’effet produit par l’environnement sur un athlète alors que la réaction à la chaleur désigne la réaction du corps d’un athlète lorsque celui-ci est exposé aux stress produit par l’environnement.
Les principaux facteurs pouvant entraîner de la fatigue lors de l’activité physique dans un environnement où la chaleur est élevée sont un effort accru du système cardiovasculaire et un taux élevé d’utilisation des glycogènes musculaires.